Important!
Odense est l’une des 4 zones à faibles émissions au Danemark: Aalborg, Aarhus, Copenhague, Odense
Odense
Ai-je besoin d’une vignette ou d’un enregistrement ?
Depuis le 1er juillet 2020, les véhicules concernés par la zone à faibles émissions doivent avoir un enregistrement danois pour circuler dans les zones. Dans le cas contraire, il faut compter sur une amende pouvant aller jusqu'à 1 700 euros. Avant le 01.07.2020, l‘EcoSticker était encore obligatoire.
Comment reconnaître la zone environnementale ?
Le début et la fin des zones environnementales sont marqués par des panneaux. Un cercle rouge y figure comme signe d'interdiction, à l'exception des "véhicules respectueux de l'environnement". Le mot "zone environnementale" est toujours écrit en bas. Le signe d'entrée n'indique pas qui exactement est autorisé à entrer ou non.
Retrouvez une carte détaillée de toutes les zones à faibles émissions dans notre Appli Green-Zones. Vous pouvez ainsi repérer les limites de la zone et éviter les amendes.
Y a-t-il d'autres zones environnementales au Danemark?
On compte en tout 4 zones à faibles émissions au Danemark: Aalborg, Aarhus, Copenhague, Odense
Dans notre application Green-Zones, nous avons rassemblé toutes les zones environnementales d'Europe et les avons présentées clairement.
Bon à savoir...
Retrouvez toutes les restrictions de circulation en temps réel et d’autres infos dans notre Appli Green-Zones.
Recharger aux lampadaires: une expérience coûteuse aux bénéfices limités?
Le défi de l'électromobilité n'est pas seulement l'achat des véhicules, mais aussi la mise à disposition d'une infrastructure de recharge à grande échelle. La start-up berlinoise Ubitricity a imaginé une solution créative : transformer des lampadaires en stations de recharge. Mais la réalité est décevante. Selon les chiffres actuels du Sénat berlinois, moins d'un réverbère sur dix se prête à une transformation. De plus, les coûts sont considérables : 6000 euros par conversion (sans extension du réseau).
France : prime à la casse 2.0?
La réutilisation de voitures initialement destinées à la casse a été décidée à l'unanimité en faveur des citoyens les plus vulnérables du pays. Si l'intention derrière cette mesure est respectable, sa mise en œuvre laisse de nombreuses questions en suspens et soulève de sérieuses inquiétudes quant à son impact environnemental.